La première image que nous voyons est un arbre mort à travers une fenêtre. Cette vision froide pose l'ambiance de ce morceau via ce thème/objet.
Les images du clip et les paroles sont contradictoires :
« Bonjour ma chère épouse
Que vois-tu ?
Tu ne peux pas ramasser les papillons tombés sur le sol avec ces yeux »
Si nous observons bien le visage de la danseuse, il est voilé. On peut l'interpréter comme une cécité qui peut incarner la signification de l'angoisse (cf. paroles et titre "distress" = détresse).
« Tue ta voix. Et avec ces mains qui tremblent, nettoie tes lèvres »
Lors de sa première apparition, cette danseuse est allongé dans un lit et gesticule bizarrement, ramenant ses mains près de la bouche comme si elle avait quelque chose à dire. D'ailleurs, dans les paroles le narrateur lui demande de parler ("tu me dis "C'est la vérité"...).
Les couleurs forment un jeu important. La robe de la jeune fille est blanche. Cette blancheur peut représenter la pureté qui est souillée dans un bref passage. Vers 1:50 min on peut apercevoir cette même robe ensanglantée alors que quelques secondes plutôt nous pouvions voir la veste pourpre de Ruki. Ce rouge peut être lié avec la "blanche agonie". La robe ensanglantée peut venir de la scène où elle se voit dans le reflet de la fenêtre : « Le sourire [est refleté] dans la lame qui se balance tranquillement ». Le reflet serait la lame qui l'a blessée.
Autre point important avec les couleurs, ce sont les apparitions individuelles des membres du groupe dans la "chambre" qui sont en noir et blanc alors que celle de la danseuse sont en couleurs. Un contraste est créé durant les scènes qui se situent au pied de l'arbre. Le groupe est réuni en couleur contrairement à la danseuse qui bénéficie du noir et blanc. Nous verrons pourquoi plus tard ^^
Pourtant, cette danseuse ressemble à un zombie, une poupée désarticulée. Ses gestes sont à un moment comme convulsifs. Ces gestes répétitifs évoquent une stagnation : le présent ("non diminué"). Notons que l'hiver est en dernier dans le cycle des saisons et qu'il n'y a aucunes scènes où il n'y a de la neige avec elle. Donc pas de futur. Ce présent est "dans les rêves stériles" qui se trouvent derrière la fenêtre : à un moment elle est près de la fenêtre face à elle-même. Mais ce ne peut être elle puisque la seule chose qui se trouve dehors c'est l'arbre mort. Un arbre représente la vie, mais celui-ci étant mort peut représenter "le rêve stérile". Cet arbre où la neige (le futur) est présente donc peut-être pas un lieu pour elle. Cet arbre qui est inaccessible à cause de la fenêtre...
Les images du clip et les paroles sont contradictoires :
« Bonjour ma chère épouse
Que vois-tu ?
Tu ne peux pas ramasser les papillons tombés sur le sol avec ces yeux »
Si nous observons bien le visage de la danseuse, il est voilé. On peut l'interpréter comme une cécité qui peut incarner la signification de l'angoisse (cf. paroles et titre "distress" = détresse).
« Tue ta voix. Et avec ces mains qui tremblent, nettoie tes lèvres »
Lors de sa première apparition, cette danseuse est allongé dans un lit et gesticule bizarrement, ramenant ses mains près de la bouche comme si elle avait quelque chose à dire. D'ailleurs, dans les paroles le narrateur lui demande de parler ("tu me dis "C'est la vérité"...).
Les couleurs forment un jeu important. La robe de la jeune fille est blanche. Cette blancheur peut représenter la pureté qui est souillée dans un bref passage. Vers 1:50 min on peut apercevoir cette même robe ensanglantée alors que quelques secondes plutôt nous pouvions voir la veste pourpre de Ruki. Ce rouge peut être lié avec la "blanche agonie". La robe ensanglantée peut venir de la scène où elle se voit dans le reflet de la fenêtre : « Le sourire [est refleté] dans la lame qui se balance tranquillement ». Le reflet serait la lame qui l'a blessée.
Autre point important avec les couleurs, ce sont les apparitions individuelles des membres du groupe dans la "chambre" qui sont en noir et blanc alors que celle de la danseuse sont en couleurs. Un contraste est créé durant les scènes qui se situent au pied de l'arbre. Le groupe est réuni en couleur contrairement à la danseuse qui bénéficie du noir et blanc. Nous verrons pourquoi plus tard ^^
Pourtant, cette danseuse ressemble à un zombie, une poupée désarticulée. Ses gestes sont à un moment comme convulsifs. Ces gestes répétitifs évoquent une stagnation : le présent ("non diminué"). Notons que l'hiver est en dernier dans le cycle des saisons et qu'il n'y a aucunes scènes où il n'y a de la neige avec elle. Donc pas de futur. Ce présent est "dans les rêves stériles" qui se trouvent derrière la fenêtre : à un moment elle est près de la fenêtre face à elle-même. Mais ce ne peut être elle puisque la seule chose qui se trouve dehors c'est l'arbre mort. Un arbre représente la vie, mais celui-ci étant mort peut représenter "le rêve stérile". Cet arbre où la neige (le futur) est présente donc peut-être pas un lieu pour elle. Cet arbre qui est inaccessible à cause de la fenêtre...
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